








Les écoles de la deuxième chance affichent un taux de sorties positives de 59 % en 2015, soit le plus haut niveau depuis 2009
En 2015, les écoles de la deuxième chance affichent un taux de sorties positives de 59 %, au "plus haut depuis 2009"
Les Écoles de la deuxième chance (E2C) affichent un taux de sorties positives de 59 % en 2015, selon un bilan du réseau E2C, publié en avril 2016. Ce taux est en augmentation de trois points par rapport à 2014.
Sur les stagiaires sortis de l'E2C en 2015, 71 % ont bénéficié d'une sortie les engageant pour plus de 6 mois dans une voie professionnelle. Plus de 2 200 stagiaires ont repris une formation, souvent en alternance.
Le public des E2C montre depuis plusieurs années les mêmes caractéristiques avec notamment un faible niveau de diplômes (87 % n'ont pas de CAP ou de BEP) et un âge moyen de 20,5 ans.
La part de stagiaires n'ayant aucune expérience professionnelle est en augmentation. Elle passe de 60 % en 2014 à 66 % pour 2015, montrant l'éloignement de plus en plus significatif des jeunes non diplômés du monde du travail.
Selon le réseau, les jeunes qui se présentent à l'E2C restent en marge des circuits d'insertion professionnelle d'où la nécessité de dispositifs d'insertion hors des schémas traditionnels, pour capter et aider les jeunes les plus éloignés de l'emploi à trouver une situation stable et pérenne.
AEF, n°537370 (29 avril 2016)
Sur les stagiaires sortis de l'E2C en 2015, 71 % ont bénéficié d'une sortie les engageant pour plus de 6 mois dans une voie professionnelle. Plus de 2 200 stagiaires ont repris une formation, souvent en alternance.
Le public des E2C montre depuis plusieurs années les mêmes caractéristiques avec notamment un faible niveau de diplômes (87 % n'ont pas de CAP ou de BEP) et un âge moyen de 20,5 ans.
La part de stagiaires n'ayant aucune expérience professionnelle est en augmentation. Elle passe de 60 % en 2014 à 66 % pour 2015, montrant l'éloignement de plus en plus significatif des jeunes non diplômés du monde du travail.
Selon le réseau, les jeunes qui se présentent à l'E2C restent en marge des circuits d'insertion professionnelle d'où la nécessité de dispositifs d'insertion hors des schémas traditionnels, pour capter et aider les jeunes les plus éloignés de l'emploi à trouver une situation stable et pérenne.
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